jeudi 7 août 2008

Poésie sur parole...

Je sais bien que l’amour est enfant de bohème et qu’il n’a jamais connu de lois et que si les lions sont plus forts que les lapins, c’est pas une raison pour que les lapines les suivent du regard en clignant de l’œil, mais...
Et voilà, j’ai encore fait une phrase trop longue !
Non, ce que je voulais dire, c’est que comme c’est l’été et qu’il y a relâchement des mœurs consécutive à l’exaspération de votre libido de petits lapins, méfiez vous de l’attelage à la mode, popularisé par le chef de l’état c’est lui, à savoir le mariage de la carpe et diem et du chaud latin.

Je sais qu’il y en a qui se demande ébahis, comment que c’est possible d’être aussi brillant, y a pas d’mystère les amis, c’est que du travail, du travail et encore du travail . Nous, les artistes du firmament, on à l’air d’être des branleurs, mais en réalité, on ne dort pratiquement pas, ( moi, par exemple, pas plus de 10 heures de sommeil par nuit ! ).
Le secret de la réussite insolente, c’est rien d’autre que des heures de vol !
C’est ainsi que semblable au prince des nuées, ( qui hante la tempête et se rit de l’archer ! ), nos ailes de géant nous empêchent de marcher et de planter un clou droit.
En fait, ce matin, en prenant mon petit déjeuner, je pensais à Carlita la chanteuse d’état.
C’est parce que j’ai la détestable habitude, d’écouter les infos de Paris Inter et que le disque, (on dit encore disque ?), de madame la femme du président du pouvoir d’achat, est “disque Inter”.
“Disque Inter”, ça veut dire que ça passe sur les ondes plusieurs fois par jour, mais heureusement, j’ai autre chose à faire qu’écouter la radio.
Au début du mois de juillet, j’ai entendu un journaliste qui s’excusait vaguement comme quoi que c’était décidé depuis plusieurs mois avant que Carlita convole.
Ça veut dire vachement longtemps avant la sortie de l’album, (je ne sais pas pourquoi on dit album pour un disque, mais ça permet de ne pas dire disque une fois de plus et éviter les répétitions, dans un texte, c’est primordial. C’est comme la circoncision, dans un texte, c’est vachement important, surtout si tu écris pour Charlie Hebdo !).
Là, autant mettre un point, au point où j’en suis.
Revenons à notre péronnelle de l’Élysée. (Ne comptez pas sur moi pour un jeu de mots foireux avec une poignée de main sur la péronnelle de l’Élysée, c’est pas mon genre, je fais juste cet aparté un peu lourd pour que les moins vifs d’esprit ne loupe pas trop de trucs).
Je n’y connais rien en industrie du disque, mais si ça se trouve, France Inter prévoit ses “disques Inter” avant d’avoir pu les écouter !
Peut-être que ça se décide à la pochette. Auquel cas, c’est normal que ce soit Carla Bruni qui gagne.
Si ça se trouve, le prix du livre Inter aussi, cette année ce sera Carla Bruni !
De toute façon, une fois que tu as décroché les grelots du président, tous les autres prix, c’est des hochets, si vous me permettez cette image hardie.
Le plus simple, pour la fin d’année, serait d’instaurer un prix Carla Bruni du meilleur coup de l’année.

Heu... Je voulais dire le meilleur coup médiatique, le reste est de l’ordre de leur vie privée et la vie privée des carpes et des lapins ne nous regarde pas.

mardi 5 août 2008

Ça y est !


Je sais que vous avez oublié Raymond Barre et pourtant, il est toujours mort.
Quand à Soljenitsyne, il fait moins le malin qu’en mars, comme quoi, j’avais raison à un poil près, ( disons à 5 mois prêt ou pré, ou prés ou ce qui fera plaisir à Caza ! )
Ne vous inquiétez pas, si cette NofzeW vous semble un peu plus incompréhensible que d’habitude, il faut avoir une certaine culture Wensienne pour être au parfum !